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Algeria News – Algérie Actualités

Portail d'information politique, économique, sociale et culturelle sur l'Algérie

Archiver pour novembre 2008


Posté le 30 novembre 2008 - par hwawi

Algérie-Arcelor-Mittal: El-Hadjar n’est pas concerné par les compressions des effectifs

Le complexe sidérurgique d’El-Hadjar d’Annaba (Algérie) n’est pas concerné par les compressions des effectifs envisages par le groupe sidérurgique Arcelor-Mittal, selon Smaïl Kouadria, sescrétaire général du syndicat du complexe cite par l’agence de presse algérienne APS..

M. Kouadria a tenu ses propos à l’issue d’une reunion avec le président-directeur général du complexe Arcelor-Mittal. Cette reunion fait suite à l’annonce par le syndicat du complexe d’organiser une grève en cas de de licenciements.

M. Kouadria a également annoncé la tenue de trois assemblées générales “pour sensibiliser les travailleurs et les informer que  les licenciements ne toucheront pas le complexe de Annaba”. Une première assemblée générale est prevue de lundi.

Arcelor Mittal a annoncé jeudi que 9.000 postes, dont 6000 en Europe et 3000 à travers ses autres usines, seront soumis aux plans du départ volontaire. Ce numéro un mondial de la sidérurgie emploie 326 000 salariés dans plus de 60 pays, dont 7000 en Algérie.

 


Posté le 30 novembre 2008 - par hwawi

Algérie : l’Alliance présidentielle appelle Bouteflika à rempiler pour un 3ème mandat

bouteflika1.jpg

Les trois partis de l’Alliance présidentielle ont appelé dimanche le président Abdelaziz Bouteflika à rempiler pour un troisième mandat à l’occasion du scrutin présidentiel d’avril 2009.
L’Alliance présidentielle, majoritaire au Parlement, est constituée de l’ancien parti unique du du Front de libération nationale (FLN, nationaliste) dont le président est n’est autre que le chef de l’Etat, du Rassemblement national démocratique (RND, libéral) du premier ministre Ahmed Ouyahia et du Mouvement pour la société de la paix (MSP, islamiste) présidé par Aboudjerra Soltani, ministre d’Etat sans portefeuille.
Le président de cette alliance, Abdelaziz Belkhadem, secrétaire général du FLN, a appelé le président Bouteflika « au nom des trois formations politiques formant cette alliance, à répondre ainsi aux vœux des militants, d’une bonne partie de la société civile et de larges couches populaires », rapporte l’agence algérienne de presse APS.  M. Belkhadem intervenait à l’issue du 9ème sommet de l’Alliance, dont le FLN a pris la présidence tournante.
M. Belkhadem a indiqué que « la demande de l’Alliance permettra également au chef de l’Etat de poursuivre ses ambitieux projets de développement, de restaurer la paix et la sécurité dans le pays après que le terrorisme eut tenté de l’entraîner vers une crise sécuritaire sanglante ».
Elu à la tête de l’Etat en avril 1999 puis réélu en avril 2004, M. Bouteflika, 71 ans, peut désormais briguer un troisième mandat après la révision le 12 novembre 2008. Cette révision décriée par des partis d’opposition et des personnalités nationales a fait sauter le verrou limitant à deux les mandats présidentiels.
Pour l’instant, le président Bouteflika n’a pas annoncé officiellement s’il est partant ou non pour un troisième mandat. Mais les observateurs avertis de la scène politique algérienne estime que cette révision de la Loi fondamentale du pays est un signe que le chef de l’Etat se portera sans aucun doute candidat à sa succession. 

 


Posté le 30 novembre 2008 - par hwawi

Algérie: la trouble exécution du colonel Chaâbani

chaabani.jpg Photo du colonel Chaâbani assassiné par ses « frères » d’armes
(La guerre de libération nationale n’a pas livré tous ses secrets terrifiants)

Il avait à peine 30 ans lorsqu’il a été exécuté par ses frères d’armes. En cette matinée du 3 septembre 1964, le plus jeune colonel de la Révolution algérienne, Mohamed Chaâbani, chef de la Wilaya VI Grand Sahara) n’est (déjà) plus.

La « première » exécution de l’Algérie indépendante venait d’avoir lieu. Dans les bas-fonds de la prison militaire d’Oran. Condamné la veille au soir à la peine de mort par une cour martiale qui avait siégé dans l’enceinte même de cette prison, le « dissident » à Ben Bella est passé froidement par les armes. Le verdict était sans appel. Immédiatement exécutoire. 44 ans après, l’affaire Chaâbani hante toujours, tourmente protagonistes, acteurs actifs ou passifs et témoins, et interpelle bien des consciences. Accusé de tentative de sécession, de « traîtrise », le colonel Chaâbani a eu droit à un simulacre de procès. Il a été jugé, sans avocat, sans témoin et exécuté comme tant d’autres avant et après lui. Sommairement.
De sa ville natale, El Tarf, l’ancien président de la République, Chadli Bendjedid, évoquait jeudi dernier le nom de ce révolutionnaire, disciple d’Ibn Badis, qui avait remplacé le colonel Si Haouès à la tête de la Wilaya VI, région pétrolifère et gazière, en 1958. Chadli Bendjedid faisait partie avec les colonels Bencherif (Gendarmerie), Saïd Abid, Bensalem Abderrahmane et Draïa Ahmed, du tribunal désigné par Ben Bella avec un magistrat civil (Zertal) pour rendre une seule sentence. Une sentence sans appel et immédiatement exécutoire contre Chaâbani. « Boumediène m’a informé que Ben Bella avait demandé de le condamner à la peine de mort », déclarait l’ancien Président. « Nous avons tout fait pour que le Président revienne sur sa décision. Saïd Abid s’est fait insulter comme un malpropre lorsqu’il y est retourné une seconde fois. Avant même que nous finissions de nous entendre, il y a eu des mouvements impressionnants de la gendarmerie.
Nous avons compris l’acharnement et l’empressement pour le mettre à mort que par la nécessité de taire des révélations compromettantes », ajoutait-il. De la culpabilité du premier président de l’Algérie indépendante, Ahmed Ben Bella, dans l’exécution de Chaâbani, le commandant Amor Sakhri, un des plus fidèles collaborateurs du colonel Chaâbani, en est persuadé. Néanmoins, l’assassinat serait l’œuvre, selon lui, de la « troisième force », des transfuges de l’armée française qui ont forcé la main à Ben Bella et à Boumediène.

La main de Boumediène

Dans une interview accordée au journal Le Soir d’Algérie du 25 janvier 1993, Sakhri déclare : « Chaâbani était précisément contre ces éléments (DAF) qui n’ont rien à voir avec la Révolution et qui se sont empressés de prendre le pouvoir (…). Se sentant en position de force et avec la complicité des autres forces politiques opportunistes, ils (les éléments de cette troisième force) ont exercé une pression sur Ben Bella et Boumediène pour les convaincre de la nécessité de se débarrasser de Chaâbani. En 1962, Chaâbani, tout comme les autres cadres de la Wilaya VI, était benbelliste et j’ajouterai pour l’histoire qu’il l’était plus que nous autres. Profitant de cette situation, Boumediène avait mobilisé tous ses alliés militaires et politiques pour exercer une pression sur Ben Bella, à telle enseigne que ce dernier est arrivé jusqu’à douter de la loyauté de Chaâbani. Celui-ci était accusé de tentative de sécession. Une accusation grave et sans aucun fondement dans le seul but d’étiqueter Chaâbani pour justifier sa liquidation à l’égard de l’opinion publique. ». La déclaration du colonel Tahar Zbiri en 1990, colonel de la Wilaya I (les Aurès) conforte cette thèse : « Chaâbani, qui avait une vaste culture, refusait de voir des officiers de l’armée française à des postes de responsabilité autres que techniques. C’est l’une des raisons du différend qui l’opposa à Boumediène. En fait, Chaâbani, en prenant la parole au congrès du FLN en avril 1964, a déclaré qu’il fallait procéder au nettoyage de l’armée des éléments infiltrés connus pour leur appartenance à la France coloniale. ».
L’historien Gilbert Meynier disculpe Ben Bella et atteste, dans Histoire intérieure du FLN-1954-1962, que le colonel Chaâbani a été « arrêté, jugé et exécuté à la demande insistante de Boumediène, après que Ben Bella eut refusé sa grâce ». Le colonel Chaâbani, natif d’Oumache, un village de la région de Biskra, rejoindra après des études secondaires, l’institut Ben Badis à Constantine. Etudiant, il ne tarda pas à abandonner ses études pour rejoindre les rangs de l’ALN et devenir le compagnon et collaborateur du colonel Si El Haouès jusqu’à sa mort. Selon Gilbert Meynier, « il fut arrêté, jugé et exécuté à la demande insistante de Boumediène après que Ben Bella eut refusé sa grâce ». Fethi Dib, patron des moukhabarate (services de renseignement égyptiens), révèle dans ses Mémoires une tout autre version. Une version aux couleurs de coup d’Etat.
Le 20 août 1964, F. Dib a rencontré Ben Bella à Alger pour lui rendre compte des résultats de l’entretien qu’il avait eu avec Khider, dont la demande de grâce au profit des opposants emprisonnés. Ben Bella aurait dit à F. Dib : « Concernant les chefs emprisonnés, ils seront jugés par un tribunal et s’il sont condamnés à mort, ils seront exécutés car ils sont accusés d’avoir tenté un coup d’Etat dans lequel Khider lui-même est impliqué. ».
Dans un discours prononcé le 5 juillet 1964, Ben Bella avait qualifié le colonel Chaâbani « d’apprenti bachagha Bengana, de vice-roi des dunes et de réactionnaire ». Le colonel Bencherif accuse le colonel Chaâbani de « dissidence et de crimes de guerre ». Selon l’ex-patron de la Gendarmerie, ancien de l’armée française, Chaâbani était entré en dissidence dans la région de Bou Saâda jusqu’au cessez-le-feu. La Wilaya VI a été dissoute, d’après lui, juste après la mort de Si Haouès et rattachée à la Wilaya IV. Il accusera aussi Chaâbani d’avoir ordonné le massacre de 700 djounoud (soldats) messalistes à Charef (Djelfa).

Mohamed Aziri, in El Watan du 30 Nov 2008

Site sur le défunt colonel Chaâbani:        http://colonelchaabani.net/


Posté le 29 novembre 2008 - par hwawi

Afrique-terrorisme: financement du terrorisme en débat à Alger

Une séminaire sur « la lutte contre le financement du terrorisme en Afrique du Nord et de l’Ouest » s’ouvrira le 1er décembre à Alger. Il est organisé conjointement par le Centre africain d’études et de recherche sur le terrorisme (CAERT) basé à Alger et le Centre d’études stratégiques de l’Afrique (CESA). Il vise à « faire le point sur la menace liée au financement du terrorisme dans les pays concernés », a indiqué le CAERT dans un communiqué.
Cette rencontre, à laquelle participeront les points focaux du CAERT et d’éminents experts africains et internationaux, examinera notamment « les meilleures voies de lutte contre le financement du terrorisme en améliorant le renseignement financier et en prenant des mesures contre le blanchiment d’argent ».
Le séminaire se concentrera aussi sur « l’ensemble des questions liées à l’application, par les Etats, de la résolution 1373 des Nations unies en matière de lutte contre le financement du terrorisme », a indiqué le CAERT. (source: El Moudjahid)


Posté le 28 novembre 2008 - par hwawi

Tichy (Béjaïa) secoué par un séisme de 3,5 jeudi soir

Un séisme d’une magnitude de 3,5 sur l’échelle ouverte de Richter a été enregistré jeudi soir à Tichy, dans la région de Béjaia, a indiqué dans un communiqué le Centre de recherche en astronomie, astrophysique et géophysique d’Alger.

Le secousse s’est produite jeudi à 18H38. Son épicentre a été localisé à 15 km au sud-ouest de la localité balnéaire de Tichy, a ajouté la même source.


Posté le 28 novembre 2008 - par hwawi

Football : l’entraîneur de l’USM Annaba limogé

L’entraîneur belge de l’USM Annaba, Henri Depireux, a été limogé après l’élimination du club au premier tour de la Ligue des champions arabe de football, a annoncé vendredi le président de l’équipe, Aissa Menadi.

« Henri Depireux n’est plus l’entraîneur de Annaba à partir de cette semaine. L’équipe sera désormais dirigée par les autres membres du staff technique sous la direction de Khaled Lounici », a déclaré Menadi à la radio (chaîne 1). L’USM Annaba a été éliminée par El Ittihad de Syrie aux tirs au but (4-2) mercredi dernier à Annaba en match retour de la Ligue des champions arabe.

M. Menadi n’a pas écarté la possibilité de recruter un nouvel entraîneur algérien ou étranger pour diriger le club pour le reste de la saison.

Par ailleurs, six à sept joueurs, considérés par le président du club comme « des perturbateurs », vont quitter l’USM Annaba lors du mercato d’hiver en décembre.

En revanche, le club pourrait engager l’ex-international algérien Mansour Boutabout, qui évolue actuellement dans le championnat de Belgique. L’USM Annaba occupe actuellement la 10ème place dans le championnat en compagnie du MSP Batna avec 15 points et un match en retard.


Posté le 12 novembre 2008 - par hwawi

La cour d’Alger a jugé hier 4 jeunes pour « atteinte à l’Islam »

Le « syndrome de Biskra » refait surface à Alger

Ils en sont déjà à leur 50eme jour de bagne. La maison d’arrêt d’El Harrach se souviendra, assurément pour longtemps, de ces détenus d’un genre à part. Des prisonniers du 3e type « coupables » d’offense à la religion d’Etat. T. Mustapha, M. Farid, T. Houcine et S. Saïd, jeunes Kabyles originaires des Ouadhias (Tizi Ouzou), sont accusés d’atteinte aux préceptes de l’Islam. 

Condamnés le 30 septembre dernier par le tribunal de Bir Mourad Raïs (Alger) à une peine de 3 ans d’emprisonnement ferme, assorti d’une amende de 100 000 DA, ils ont été jugés hier en appel par la 5e chambre correctionnelle de la cour d’Alger. Un procès surréaliste comme seules nos juridictions peuvent en produire. Le « syndrome de Biskra » a fait des petits. Retour sur la scène du crime : Val d’Hydra, quartier chic des hauteurs d’Alger, quartier néanmoins musulman, le 21 septembre qui correspondait cette année au 21e jour du mois de Ramadhan, les quatre mis en cause, trimant comme ouvriers sur un chantier de bâtiment, sont embarqués en pleine rue par une patrouille de police.
Motif ? Non-observation du jeûne musulman. La procédure du « flagrant délit » est enclenchée illico presto. Présentés devant le parquet de Bir Mourad Raïs, ils sont placés sous mandat de dépôt et jugés sans l’assistance d’un avocat, 9 jours plus tard. Le tribunal de Bir Mourad Raïs a prononcé la peine la plus lourde, en vertu de l’article 144 bis-2 du code pénal : 3 ans de prison ferme et 100 000 DA d’amende. Hier à la cour d’Alger, l’affaire ressurgit en appel. Au box des accusés, les infortunés jeunots (le plus âgé a 25 ans) que leur escapade algéroise a conduits droit au cachot. Devant le juge, livides, les yeux raclant la clinquante dalle de sol, ils répondent d’une voix fluette, souvent inaudible. La « honte » ? Peut-être. Ils reconnaissent n’avoir pas observé le jeûne.
« Mais pas en public ! » « Qu’on soit clair, leur répond la présidente, vous n’êtes pas ici parce que vous n’avez pas observé le Ramadhan mais parce que vous avez fait preuve d’un manque de respect envers l’Islam et les musulmans, un manque d’éducation, car vous auriez pu ne pas vous exhiber, comme vous l’aviez fait ce jour-là. » Le sermon de la magistrate était tel qu’aucun d’entre eux n’osait lever les yeux. « Libre à vous de ne pas respecter le Ramadhan, mais faites-le chez vous, pas en public. N’offensez pas les autres musulmans », a-t-elle dit.

 

« Plus sévère que la loi divine »

 

Les plaidoiries des avocats de la défense replacent les débats sur le terrain purement juridique. maître Iddir Mohamed et sa collègue du barreau de Tizi Ouzou, maître Ould Cheikh, ont chacun tenté de démontrer que l’article 144 bis-2 ne s’appliquait pas aux faits rejugés. L’article punit de 3 à 5 ans ferme et d’une amende pouvant aller jusqu’à 100 000 DA quiconque « dénigre le dogme ou les préceptes de l’Islam, que ce soit par voie d’écrit, de dessin, de déclaration (…) ». Le tribunal de Bir Mourad Raïs a manqué de « sérénité » en rendant un verdict sévère basé sur un article « vague » et « flou », a estimé Me Iddir.
« Quand la sérénité quitte le prétoire, la justice s’en va aussi sortant par les fenêtres », a-t-il déclaré. L’avocat a souligné l’absence d’« éléments de publicité » pour cette infraction . « Pas de cigarettes sur eux. Pas de témoins. » Tout en plaidant la relaxe de son client, Me Iddir affirme que l’application de cet article touche directement à la liberté individuelle. « Si l’on s’en tient à l’esprit de cet article, a-t-il soutenu, il faudrait aussi embarquer et juger tous ceux qui le vendredi sont surpris dehors à l’heure de la prière de la Joumouaâ (prière du vendredi) puisque c’est aussi un devoir. » Et d’ajouter : « La Loi divine elle-même ne prévoit pas de pénalité aussi sévère. »
Le tribunal de Bir Mourad Raïs s’est voulu « plus royaliste que le roi », plaide pour sa part l’avocate Ould Cheikh. Toutes les doctrines de l’Islam affichent tolérance vis-à-vis des non-jeûneurs. « Aucune doctrine, dit-elle, ne les condamne ni à la prison ni à la flagellation. Les seules kafara (acte de rédemption) infligées à ceux ne respectant pas ce quatrième pilier de l’Islam sont d’une grande modération : jeûner 60 jours ou nourrir 60 indigents. » L’avocate s’interroge candidement : « En quoi fumer une cigarette peut-il porter atteinte à l’Islam ? » Il s’agit là, selon elle d’un cas manifeste de « violation des libertés individuelles » garanties pourtant par les lois de la République. Le procureur général, dans son plaidoyer, se contentera de « confirmer » la peine prononcée par le tribunal de Bir Mourad Raïs, le 30 septembre dernier. Le verdict est en délibéré ; il sera rendu public mardi 18 novembre.

 

Par Mohand Aziri, El Watan – 12/12/2008


Posté le 5 novembre 2008 - par hwawi

Séisme : secousse de 3,7 à Aïn Beida, dans l’est algérien

Une secousse tellurique d’une magnitude de 3,7 degrés sur l’échelle ouverte de Richter a secoué mercredi à 06H39 la ville de Aïn Beida, dans la région d’Oum El-Bouaghi (est algérien), a indiqué le Centre de recherche en astronomie, astrophysique et géophysique (CRAAG) d’Alger. 

La secousse a fait plus de peur que de mal. Son épicentre a été localisé à 28 km au sud-est de la ville de Aïn Beida, a précisé la même source dans un communiqué.  


Posté le 3 novembre 2008 - par hwawi

ALGERIE : le verrou limitant à deux les mandats présidentiels sera supprimé

Le verrou limitant à deux les mandats présidentiels successifs sera supprimé. C’est le plus important changement introduit dans le projet de révision de la Constitution adopté ce lundi le Conseil des ministres présidé par le chef de l’Etat Abdelaziz Bouteflika.
Cet amendement vise à « consacrer pleinement le droit souverain du peuple à choisir librement ses dirigeants ». Tout en maintenant à cinq ans la duré du mandat présidentiel, l’amendement stipule que « le président de la République est rééligible ». Cela va permettre à l’actuel chef de l’Etat, Abdelaziz Bouteflika, à la tête de l’Etat depuis avril 199, de rempiler pour un troisième mandat.
Le projet de révision de la Constitution prévoit que le poste de « Chef de gouvernement » sera remplacé par celui de « Premier ministre ». Son titulaire sera nommé par le président de la République comme cela s’est fait jusqu’ici d’ailleurs pour le Chef de gouvernement. Il ne sera pas forcément issu de la majoritaire au Parlement. Le chef de l’Etat peut également nommer un ou plusieurs vice-premiers ministres afin d’assister le Premier ministre qui est chargé de « mettre en œuvre le programme du président de la République et coordonner à cet effet l’action du gouvernement qu’il choisit ».
Le projet de révision de la Constitution prévoit aussi de nouveaux droits au profit de la femme. Un nouvel article 29 bis dispose que l’Etat œuvre à la promotion des droits politiques de la femme en augmentant ses chances d’accès à la représentation dans les assemblées élues, selon le communiqué du Conseil des ministres.
De nouvelles dispositions contenues dans le projet de révision constitutionnelle prévoient la protection des symboles de la guerre d’indépendance, la mémoire des chouhada (martyrs) et la dignité de leurs ayants droits et des moudjahidine (anciens combattants de la guerre d’indépendance).
Ces dispositions visent vraisemblablement à mettre un terme à la polémique sur l’affaires des « faux » moudjahidine qui a fait coulé beaucoup d’entre et de salives ces dernières années dans le pays. « Nul n’a le droit de s’approprier et d’instrumentaliser l’histoire qui est la mémoire et le patrimoine commun de tous les Algériens à des fins politiques », souligne le projet de révision de  la Constitution.
Le texte sera soumis dans les prochains jours aux deux Chambres (Parlement et Sénat) pour adoption. 



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